Ô Flaveurs : la cuisine comme seconde nature
Ô Flaveurs, la nature, sa préservation et sa sublimation sont au centre des attentions.
Si la cuisine est une chose simple que beaucoup aiment complexifier, ici, on revient toujours à l’essentiel.
Aux fourneaux, c’est la passion, la rigueur et la précision, incarnées par le Chef Jérôme Mamet, qui contribuent à la renommée de l’établissement étoilé depuis 2008.
Depuis 14 ans, il dirige avec sa femme cet établissement au sein du Château de Chilly à Douvaine.
Fort de leurs convictions et de leurs expériences passées, ils ont bâti un restaurant où la générosité et la sincérité s’imposent en toutes circonstances.
Cet établissement, conserve un charme intact et permanent, propice aux découvertes culinaires et aux bonheurs simples, qui rendent la vie si agréable.
Dans les rapports humains, tout comme dans les assiettes, c’est la vie, la vraie, qui s’exprime dans la plus grande simplicité.
Ô Flaveurs, trois suggestions d’entrées, de plats et de desserts sont offertes à l’appréciation des clients durant chaque service : pas de cartes, pas de menus.
Puisque la cuisine se met au service de la nature, et pas l’inverse, le Chef et son équipe composent chaque jour leurs recettes en fonction des ingrédients que les producteurs locaux sont en capacité de fournir.
Cette adaptation aux exigences de « Dame nature » n’empêche pas le restaurant de répondre aux demandes des clients qui ont des préférences alimentaires.
Ô Flaveurs, la nature dicte l’inspiration qui va permettre au chef de formuler ses suggestions du jour.
Ce lien profond et sincère avec les éléments naturels exprime l’attachement d’un couple pour une région, dont ils sont tombés amoureux depuis plusieurs années maintenant.
Aujourd’hui plus que jamais, Ô Flaveurs se fait le messager d’une cause commune pour laquelle nous devons tous être impliqués : la préservation de notre environnement.
Parce que cette beauté qui nous entoure est essentielle, nous ne devons pas oublier que sans elle, notre vie à tous serait bien moins belle.
